Il movimento scenico nel teatro sperimentale degli anni Settanta

Résumé

Les années 1970 dans le théâtre italien ont été caractérisées par une forte tension vers la performativité qui a remis en question le code représentatif de la scène. Dans ce contexte, la fonction du corps en tant que présence sur scène a été repensée. Le centre devient, en fait, le mouvement, compris comme l'action du corps dans l'espace. Ce qui est significatif, à cet égard, c'est ce qui se passe dans la post-avant-garde et, en particulier, avec le travail de Carrozzone de Federico Tiezzi et avec la Gaia scienza de Giorgio Barberio Corsetti, Marco Solari et Alessandra Vanzi. Dans ce cas, il s'agit d'une action non référentielle qui se résout en une véritable chorégraphie qui, d'une part, tend vers l'abstraction et, d'autre part, vers la concrétude soluble de l'acte scénique. Le mouvement est en effet traité comme l'écriture analytique d'une action physique, à travers un système de gestes qui met en relation le corps et l'espace.